Rage et entraînement

Kira arriva dans l'école avec colère. Elle n'allait plus tarder de mettre e, place son élite. Mais elle était en colère pour l'instant. Shidori! Elle avait vu Shidori. Ce jour-là! Le jour de ce funeste anniversaire. Dans un mouvement de rage elle frappa violemment dans un mur qui céda bien évidemment.

*Kaorin...*

Elle sortit et démolit des rondins de bois. Encore et encore, elle frappait sur les rondins qui étaient sensés servir à combattre sur sol instable, non à être démoli de la sorte. La main que Shidori avait guérie se mit bientôt à saigenr abondament et Kira se sentit encore plus en colère, frappant encore et encore.

*4 ans déjà... que je l'ai tué... et qu'elle l'a laissé mourir...*

Elle frappa encore et un craquement sinistre échappa de son poing. Le sang coulait à flot, la guérison de Shidori avait disparu et la rage de Kira grandissait encore.

*Et tu n'es plus là Kaorin... j'ai tant besoin de toi!*

Ses larmes ne coulèrent pas, elle venait de décider que ses larmes ne couleraient plus. Alors elle frappa encore dans les rondins.

Kira ne se lassait pas de frapper dans les rondins... en quelques minutes la moitié du stock y était passé. Du sang et des morceaux de bois jonchaient le sol.

"Je ne dois pas me laisser aller..."

Elle frappa à nouveau avec rage et deux rondins cédèrent sur le coup.

"Je ne dois plus être faible!"

Deux rondins cédèrent encore.

"Je dois être maîtresse de ma tristesse!!!"

Elle frappa une dernière fois et 4 rondins explosèrent en mille morceaux, lui plantant des échardes sur les bras, le visage. et sa main saignait plus que de raisons.

*Je vais rentrer maintenant.*

5 ou 6 minutes à peine était passée depuis son départ du salon, mais il ne lui en avait pas fallu plus pour se détruire.

Au bout de deu xminutes de cessation de massacre, elle jeta un regard dur vers les environs et prit le chemin du palais. Sa colère ravalée, elle pouvait rentrer et reprendre son travail.

*ma tête tourne... je suis stupide...*

Elle avança avec détermination, mais cela ne l'empêchait pas de chanceler.